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Le Partidul Naţional Ţărănesc Creştin Democrat a reçu le soutien de la Princesse héritière Maragarita (le PNTCD lui a offert la tête de liste de la ville de Cluj aux sénatoriales de 2004) et celui moins affiché du Roy [[Michel Ier]]. Néanmoins, les relations sont moins cordiales avec le Prince Radu de Hohenzollern –Veringen. Lorsque dernier annonce sa candidature à l’élection présidentielle de Novembre 2009, les monarchistes ne vont pas cacher leur mécontentement. Le Prince est un personne controversé, ancien acteur né en 1960, nommé Représentant spécial du gouvernement de Roumanie de 2002 à 2008 avec rang de Ministre, d'autant plus que les intentions de votes ne le créditent pas plus de 3% des voix. Tant et si bien que le 3 Septembre 2009 (et malgré un bond spectaculaire dans les sondages qui désormais le créditait de 12 à 14% des voix), le Prince Radu annoncera son retrait de la présidentielle au profit du Parti National Libéral de Crin Antonescu. | Le Partidul Naţional Ţărănesc Creştin Democrat a reçu le soutien de la Princesse héritière Maragarita (le PNTCD lui a offert la tête de liste de la ville de Cluj aux sénatoriales de 2004) et celui moins affiché du Roy [[Michel Ier]]. Néanmoins, les relations sont moins cordiales avec le Prince Radu de Hohenzollern –Veringen. Lorsque dernier annonce sa candidature à l’élection présidentielle de Novembre 2009, les monarchistes ne vont pas cacher leur mécontentement. Le Prince est un personne controversé, ancien acteur né en 1960, nommé Représentant spécial du gouvernement de Roumanie de 2002 à 2008 avec rang de Ministre, d'autant plus que les intentions de votes ne le créditent pas plus de 3% des voix. Tant et si bien que le 3 Septembre 2009 (et malgré un bond spectaculaire dans les sondages qui désormais le créditait de 12 à 14% des voix), le Prince Radu annoncera son retrait de la présidentielle au profit du Parti National Libéral de Crin Antonescu. |
Version du 9 novembre 2015 à 08:44
Parti National Paysan Démocrate- Chrétien (Partidul Naţional Ţărănesc Creştin Democrat)
La chute du régime de Nicolae Ceaucescu le 24 décembre 1989 est également celle du communisme en Roumanie. Les partis d’opposition sont légalisés dont l’ancien parti monarchiste, le Parti National Paysan (1926- 1947) qui va bientôt devenir le Parti National Paysan Démocrate- Chrétien (Partidul Naţional Ţărănesc Creştin Democrat- PNTCD).
La chute de la monarchie
Le film des événements de la chute de la monarchie
Après avoir orchestré un coup d’état contre le Maréchal Antonescu (1882-1946) qui dirigeait le pays depuis 1940, le Roi Michel Ier est contraint de signer une armistice avec les Soviétiques qui viennent d’entrer dans son pays, le 12 Septembre 1944.
Le 30 décembre 1947, son palais cerné par les chars soviétiques et alors que le souverain est sous la menace de voir 1000 étudiants se faire exécuter, le Roi Michel Ier doit céder, signer son abdication et partir en exil. Le Parti National- Paysan (Partidul Naţional Ţărănesc), principal mouvement monarchiste, sera interdit le 29jJuillet 1947 par les communistes et se réfugie dans la clandestinité. Quelques réunions se tiendront bien secrètement à Bucarest mais le pouvoir communiste embastille impitoyablement tous partisans de la monarchie (le leader du PNTCD Corneliu Coposu affirmera que le pouvoir communiste aurait arrêté 270 000 monarchistes). La plupart des leaders du Parti National- Paysan sont en exil et faute de moyen financiers ne peuvent envisager de retour au pouvoir par la force.
Retour du Parti National- Paysan en Roumanie
La révolution roumaine de 1989 permet le retour de tous les mouvements politiques d’opposition y compris ceux des monarchistes du Parti National- Paysan que dirige Corneliu Coposu.
Le 22 décembre 1989, le Parti National- Paysan lance un manifeste intitulé « Appel au pays ! » établissant le début d’un programme politique (instauration de la démocratie, liberté religieuse, libre économie, réformes immédiates et restauration de la monarchie). Le 8 Janvier 1990, le Parti National- Paysan est enfin enregistré comme mouvement politique sous le nom de Parti National Paysan Démocrate- Chrétien (PNTCD).
Le 18 Janvier 1990, les Princesses Sophie et Margarita de Hohenzollern- Sigmaringen arrivent à Bucarest, acclamées par des milliers de roumains. Les filles du Roi Michel ne s’attendaient pas à cette manifestation de ferveur pas plus que le PNTCD qui (tout en étant l'organisateur) marque là des points face aux acteurs de la Révolution, la plupart des anciens communistes reconvertis en démocrates, et une preuve que malgré d’années de dictature communiste, les roumains n’ont pas oublier leur monarque.
Cette arrivée impromptue des deux Princesses embarrasse le tout nouveau Conseil Provisoire d’Union nationale qui doit faire face à de violentes manifestations monarchistes notamment celle du 16 Février où l’armée doit intervenir alors que l’on organise les premières élections présidentielles libres du pays.
Le 6 avril 1990, le candidat du PNTCD à l’élection présidentielle (jugée controversée), Ion Ratiu, n’obtiendra que 4,29% des voix (617000 votants) mais gagne néanmoins 12 Députés et 1 sénateur aux élections législatives et sénatoriales. Bien que modestes, les résultats obtenus restent pourtant un succès pour un parti qui n’avait pas eu de voix durant les années du régime communiste. Il reste donc au PNTCD de préparer le retour du Roi Michel qui vit dans sa résidence en Suisse. Et cela le gouvernement post- communiste (Front du Salut National) élu ne le souhaite pas. Craignant des manifestations importantes qui permettraient le retour de la monarchie en Roumanie, les autorités annulent le visa du Roi Michel le 12 Avril et celui-ci n’aura même pas le temps de débarquer à Bucarest. Les résultats de la première élection libre de Roumanie n’ont fait pas l’unanimité notamment chez les étudiants. Des grèves éclatent, l’université est fermée en Juin, le pouvoir envoie des mineurs pour réprimer les émeutes étudiantes avec violence. Les monarchistes réclament le retour du roi seul capable, selon eux, de restaurer la démocratie.
Le Premier Ministre Petru Roman (né en 1946) refuse catégoriquement de rencontrer le Roi Michel dont le seul nom divise la classe politique du pays. L’Ambassade de Roumanie en France annonce son soutien à l’ancien monarque et lui délivre des visas que Bucarest s’empresse de faire annuler. C’est donc avec un passeport diplomatique que le Roi Michel arrive en Roumanie, le 24 décembre 1990. Des centaines de partisans acclament le souverain, des soldats feront même une haie d’honneur à Michel. Alors qu’il a fait à peine 90 Kms de route depuis sa sortie de l’aéroport, la voiture du souverain est arrêtée par ce qui semble un accident. Mais des hommes armés surgissent en face de lui. Michel devra sa vie aux reporters français qui l’entourent.A 11 heures du soir, la police lui intime l’ordre de repartir puis le Premier Ministre ordonne son expulsion, l’accusant de tentative de coup d’état, affirmant que le Roi disposait de soutiens armés à Sinaïa.
Le 10 mai 1991, de nouvelles manifestations royalistes secouent Bucarest, le 20 c’est 20 000 personnes qui manifestent contre le Président Ion Iliescu (né en 1930, ancien Ministre de la Jeunesse Communiste Roumaine). Sous pression, Petre Roman doit démissionner le 28 septembre 1991
Du 25 au 27 septembre 1991, à lieu le premier congrès du PNTCD dont Corneliu Coposu est élu Président du parti.
Le PNTCD, parti gouvernemental (1996 – 2000)
Le 23 février 1992, le FSN perd les élections municipales. Le gouvernement n’a plus le choix devant la contestation que de temporiser. Le 21 Avril 1992, le Roi est enfin autorisé à revenir en Roumanie. 5 jours après cette autorisation, Michel Ier débarque en Roumanie pour 48 heures. 500 000 personnes se sont rassemblées pour l’accueillir à Bucarest. Le Communisme a vécu, la révolution aussi.
Les monarchistes désormais structurés signent des alliances avec d’autres partis comme le Parti National- Libéral (PNL) et se rassemblent sous le nom de Convention Démocratique de Roumanie (CDR). A la mi-Août, le Roi annonce son intention de revenir mais le gouvernement roumain le lui interdit prétextant que la date choisie pourrait influencer le vote des roumains lors des élections législatives du 27 Septembre 1992. D’ailleurs,le PNTCD fera élire sous son nom 41 députés et 21 Sénateurs. Au sein du CDR, les monarchistes sont alors le deuxième groupe d’opposition du pays. A la mort de Coposu en Novembre 1995, Ion Ratiu lui succède (Congrès du 19-21 Janvier 1996). C’est lui qui va avoir la lourde charge d’amener les monarchistes au pouvoir.
En Juin 1996, le candidat monarchiste du CDR, Victor Ciorbea remporte la mairie de Bucarest. Puis lors des élections législatives du 3 Novembre 1996, la coalition du CDR obtiendra 122 députés (dont le PNTCD qui envoie au Parlement 83 députés et 27 Sénateurs). Le mouvement monarchiste entre par la grande porte au gouvernement. Le PNL obtiendra la présidence (Emile Constantinescu), Victor Ciorbea le poste de Premier Ministre et Ion Diaconescu (PNTCD) la présidence du Parlement.
C’est l’apogée du mouvement monarchiste devenu désormais un parti gouvernemental. Il s’agit désormais de préparer le retour du Roi et le 21 Février 1997, le Parlement vote la restitution de la citoyenneté roumaine au Roi et à sa famille, restitue ses châteaux au souverain qui reçoit le titre d’Ambassadeur itinérant pour la Roumanie (4 Mars). Le Président Constantinescu annonce qu’il entend préparer un référendum sur le retour de la monarchie (en 1997, un roumain sur 10 est alors favorable à la monarchie).Le Roi Michel fera un retour le 28 février avant de s’installer définitivement en Roumanie en Décembre. La coalition va se fissurer avec la démission du Premier Ministre Ciorbea, son remplacement par le Général Vasile Radu (qui sera exclu du PNTCD le 27 Décembre 1999 après sa gestion désastreuse des grèves minières) et enfin l’échec aux élections de Juin et Novembre 2000.
Le PNTCD, parti d'opposition
Les élections législatives et présidentielles se profilant, le PNTCD signe le 18 Février 2000 un accord avec le CDR qui prévoyait deux listes séparées (1er tour) et un soutien au perdant lors du second tour. Mais la faiblesse des résultats lors des élections municipales de Juin 2000 (Bucarest est perdue au profit du candidat du Parti Démocrate Libéral et futur président Traian Basescu, le mouvement obtient à peine 10% des voix) force le CDR et ses alliés du PNTCD à ouvrir la porte de la coalition aux écologistes, à l’Alliance Nationale des Chrétiens Démocrates (dirigé par Ciorbea) et le parti moldave. Emile Constantinescu ne se représentant pas, le PNTCD appelle ses partisans à voter pour Mugur Isarescu (dernier Premier Ministre nommé le 21 décembre 1999) qui se présentera comme indépendant. Isarecsu ne dépassera pas les 10% des voix à la présidentielle de Novembre 2000 (à noter la candidature du Prince Paul de Hohenzollern-Sigmaringen qui recevra 0,49% des voix sous les couleurs du Parti de la réconciliation nationale). Le CDR qui n’obtient que 5% aux législatives le même mois de dissoudra.
Cet échec entraine la démission de tout le conseil politique du PNTCD (2 Décembre 2000) et son remplacement par un Conseil provisoire.
Le mouvement monarchiste va bientôt entrer en crise interne. Le nouveau Président du PNTCD élu, Andrei Marga, appelle en mai 2001 tous les monarchistes qui occupent de postes de fonctionnaires de cesser le travail. C’est un échec. Marga démissionne de son poste (envoi d’un simple fax) le 6 juillet 2001. Victor Ciorbea assure l’intérim et suspend le Vice Président du parti, Vasile Lupu, qui refuse de se soumettre à cette décision. Le Congrès du 14 août 2001 mettra fin à ce conflit interne avec l’élection à la présidence du PNTCD par 431 voix contre 438 (Vasile Lupu sera exclu du parti, attaquera devant le tribunal son ancien mouvement avant de fonder le Parti Populaire des Chrétiens- Démocrates).
Le 21 Septembre 2002, le PNTCD organisera une marche dans Bucarest rassemblant 7000 personnes. Afin de contenter les monarchistes, le gouvernement roumain autorise le rapatriement du corps de l’ancien Roi Carol II, décédé en 1953 au Portugal. Lors des élections municipales de 2004, le PNTCD obtient 35 maires (dont celui de Timisoara, Gheorghe Coriolan Ciuhandu, réélu pour la 3ième fois) et 674 conseillers municipaux. Participant aux élections législatives, il ne dépassera pas les 2% des voix (188 268 voix) tout comme aux sénatoriales avec 1,92% des voix (196027 votes).
Ce nouvel échec en demi-teinte force la démission de Victor Ciorbea. Le Congrès du 6 mars 2005 élit Gheorghe Coriolan Ciuhandu à la tête du PNT (le parti avait repris son nom traditionnel avant de reprendre celui actuel le 10 septembre 2006). Une politique d’alliance est menée et c’est ainsi que l’Union Pour la Reconstruction Roumaine (Uniunea pentru Reconstrucţia României) et le Parti Populaire des Chrétiens – Démocrates (Partidul Popular Creştin-Democrat, PPCD) fusionneront avec le PNTCD. Le PNTCD prendra brièvement de Parti démocratique du peuple chrétien avant de reprendre son nom originel en septembre 2006.
Le 21 Janvier 2007, l’homme d’affaires Marian Petre Milut prend le leadership du PNTCD (Vasile Lupu réintégré dans le conseil politique du parti). Une nouvelle crise éclate au sein du parti (Georges Ciuhandu est exclu du parti) qui se scinde en deux. Lors des élections sénatoriales de 2007, le mouvement divisé obtiendra 70,428 voix soit 1.45% des suffrages exprimés et à peine 11 élus municipaux lors des municipales de Juin 2008.
Le 24 août 2008, un congrès extraordinaire élit Radu Sarbu comme nouveau Président afin de résoudre la crise qui secoue le mouvement. Mais Marian Petre Milut refuse de céder son poste et avec ses partisans rejoint le Parti Démocrate Libéral du Président Traian Basescu (élu lors de l'élection présidentielle en 2004). Radu Sarbu, quant à lui conclura une alliance avec le Parti National Liberal et envoie au Parlement 18 députés (coalition).
Lors des élections européennes du 7 Juin 2009, le Parti National Paysan Démocrate Chrétien, obtiendra 1,45% des voix (aucun élu).
Le 18 juin 2011, Victor Ciorbea est de nouveau élu Président du PNTCD (Sur 567 délégués, 529 ont voté pour lui, 4 non et 34 bulletins annulés), mettant fin à la discorde qui régnait au sein du mouvement. Cependant le 17 septembre 2011, Vasile Lupu et Aurélien Pavelescu organisent un contre congrès dissident à Bucarest qui entérine la création d'un second PNTCD
Une alliance avec le Parti national -Libéral sera néanmoins conclue pour les prochaines élections afin de permettre au PNTCD (-authentique) en cas de victoire de revenir au pouvoir. Il peut également compter sur le soutien de la Confédération démocratique des Syndicats en Roumanie dont il a été le fondateur. Une fois de plus, suite à des désaccords, Victor Ciorbea quittera peu après le PNTCD pour rejoindre le Parti national- libéral.
Retour du PNTCD au parlement (2012)
Une campagne de signatures a été lancée par le mouvement monarchiste en faveur de la restauration de la monarchie. En 2008, un sondage affirmait que 16% de la population roumaine était favorable au retour de la monarchie. Un autre de 2011 (uniquement internet) montre que 4/5 des roumains ayant votés serait favorable au retour de la famille royale à la tête des institutions gouvernementales.
Le mouvement royaliste a participé aux manifestations anti gouvernementales de janvier à mars 2012. Les étudiants qui ont placardés des portraits du Roi Michel Ier dans les universités de Bucarest,ont conspué le Président Basescu le 8 mars 2012 en criant " démission, vive le Roi Michel".
Pour les élections législatives du 9 décembre 2012, une partie du PNTCD dissident d'Aurelian Pavelescu et de Marian Petre Milut formera avec le Parti Démocrate- libéral et le parti des Forces civiques une plateforme politique nommée l'Alliance pour une Roumanie droite (Alianța România Dreaptă -ARD). L'ARD obtiendra 16% des voix dont 1 siège au parlement pour le PNTCD et également un siège de sénateur..
Le PNTCD- Authentique a quant à lui fait une alliance avec le Parti national -Libéral (PNL)et a rejoint de facto le mouvement de l'Union sociale-libérale (Uniunea Social Liberală-USL). L'USL a obtenu 58% des voix . Le PNTCD de Ciorbea n'a pas de siège sous son nom. Victor Ciorbea quitte le PNTCD en octobre 2012 pour un poste de sénateur sous la bannière du Parti national-libéral.
En avril 2013, Pavelescu a été reconduit à la tête du PNTCD et a signer en novembre 2013 une alliance politique avec le groupe Initiative Libérale de Roumanie, dissidents du Parti national-libéral. Le PNTCD de Pavelescu a refusé toute alliance avec le Parti national-libéral , pourtant jugé comme proche de la monarchie.
Le PNTCD -authentique a refusé de reconnaître le congrès du 20 avril 2013 et a élu comme Président de nouveau Gheorghe Coriolan Ciuhandu. les divisions demeurent encore à ce jour (il est toujours difficile de dire qui dirige réellement le mouvement) et les résultats ne décollent plus (une alliance avec le parti PMP lors des législatives de novembre 2010 lui a permit d'atteindre 5,20% soit 493,376 voix) , faisant du PNTCD un mouvement mineur d'opposition. Néanmoins le 1er avril 2015, le Président Klaus Iohannis a nommé Conseiller d'Etat ,l'ancien Secrétaire d'état à la défense Constantin Dudu Ionescu et ncien Président par intérim en 2001 du PNTCD.
LE PNTCD est membre de la composante politique européenne, le Parti du Peuple Européen (PPE)
Relations du PNTCD avec la Famille Royale de Roumanie
Le Partidul Naţional Ţărănesc Creştin Democrat a reçu le soutien de la Princesse héritière Maragarita (le PNTCD lui a offert la tête de liste de la ville de Cluj aux sénatoriales de 2004) et celui moins affiché du Roy Michel Ier. Néanmoins, les relations sont moins cordiales avec le Prince Radu de Hohenzollern –Veringen. Lorsque dernier annonce sa candidature à l’élection présidentielle de Novembre 2009, les monarchistes ne vont pas cacher leur mécontentement. Le Prince est un personne controversé, ancien acteur né en 1960, nommé Représentant spécial du gouvernement de Roumanie de 2002 à 2008 avec rang de Ministre, d'autant plus que les intentions de votes ne le créditent pas plus de 3% des voix. Tant et si bien que le 3 Septembre 2009 (et malgré un bond spectaculaire dans les sondages qui désormais le créditait de 12 à 14% des voix), le Prince Radu annoncera son retrait de la présidentielle au profit du Parti National Libéral de Crin Antonescu.
Lorsque le Président Traian Basescu accusera la Roi Michel de collaboration avec les soviétiques et de trahison lors d’une allocution télévisée le 23 Juin 2011, le PNTCD émet une protestation publique et exigera du gouvernement des excuses immédiates.
En 2013, le gouvernement roumain a annoncé la révision de la constitution et l'organisation d'un référendum sur la question de la restauration de la monarchie.
En Août 2015, le PNTCD avait écrit au Roi Michel afin qu'il revienne sur sa décision de priver de ses titres le prince Nicolas.
Liens externes
- [1] : Site officiel du Partidul Naţional Ţărănesc Creştin Democrat (Ro.)
- [2] : Site officiel du Partidul Naţional Ţărănesc Creştin Democrat à Cluj (Ro.)
- [3] :Site officiel du Partidul Naţional Ţărănesc Creştin Democrat aux Etats- Unis (Ro.)
- [4] : Enquête sur la campagne électorale de 2004 (Fr.)
- [5] : Pages facebook du PNTCD (Ro.)
- [6] : Soutien de Marian Petre Milut au Président Basescu
- [7] : Déclaration de soutien du Roi Michel au Prince Radu Dadu (Angl.)
- [8] : Commentaires du Président Basescu sur le Roi Michel Ier (Ro.) 23/06/2011
- [9]: Article de presse sur les commentaires du Président Basescu sur le Roi Michel Ier (Angl.) 23/06/2011
- [10] : Site du journale Cotidianul (Ro.)
- [11]: Site officiel de la Maison Royale de Roumanie (Ro.& Angl.)
- [12] : Sondage sur la restauration de la monarchie (Ro.) 21/04/2008
- [13] : Sondage sur la restauration de la monarchie et entretien avec la Princesse Margarita (21/04/2011)
- [14] : Fiche biographique de Vasile Lupu (Ro.)
- [15] : Site non officiel du Roi michel Ier (Angl.)
- [16] : Vidéo You Tube du PNTCD (Ro.)
- [17] : Vidéo You Tube du PNTCD/ débat de l'élection présidentielle de 1990.
- [18] : Vidéo You Tube du spot électoral du PNTCD en 2009
- [19] : Article de presse roumain sur la division du PNTCD (Angl.)
- [20] : Listes des membres élus du PNTCD durant la législature de 1992.
- [21] : Article sur l'élection de Victor Ciorbea à la tête du PNTCD (Angl) 18/06/2011
- [22] : Création de l'Alliance pour une Roumanie droite (angl) 1/12/2012
- [23]: Situation du PNTCD en 2011 par un blogguer politique (Ro.)
- echec pavelescu 2012 : Echec de Pavelescu à se faire élire (Ro.)
- [24] : Accord entre le PNTCD et l'ISL (Ro.)
- [25] : Refus d'accord entre le PNTCD et le PNL (Ro.)
- [26]: Congrès du 20 avril 2013 (Ro.)