« La France debout » : différence entre les versions
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Le périodique se définit alors comme le Bulletin royaliste et catholique de Bretagne au service du Grand monarque et du Saint Pape. (il se situe alors dans la mouvance de Monseigneur Lefebvre) | Le périodique se définit alors comme le Bulletin royaliste et catholique de Bretagne au service du Grand monarque et du Saint Pape. (il se situe alors dans la mouvance de Monseigneur Lefebvre) | ||
En avril 1990, il rebaptise « ''La France debout'' » en « ''Le lys Blanc'' », remet en question les sacres de [[Louis XVIII]] et de [[Charles X]] et va illustrer la forme la plus extrême du providentialisme, n’hésitant pas à attaquer extrémistes païens ou providentialistes qui nieraient l’universalisme de la Foi catholique. Le périodique n’hésite pas à dénoncer complot sataniste en tout genre dont certains naundorffistes se font | En avril 1990, il rebaptise « ''La France debout'' » en « ''Le lys Blanc'' », remet en question les sacres de [[Louis XVIII]] et de [[Charles X]] et va illustrer la forme la plus extrême du providentialisme, n’hésitant pas à attaquer extrémistes païens ou providentialistes qui nieraient l’universalisme de la Foi catholique. Le périodique n’hésite pas à dénoncer complot sataniste en tout genre dont certains naundorffistes se font allègrement l’écho. | ||
*[[Category:Royalisme français]] | |||
*[[Category:Organisations monarchistes françaises]] | |||
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==Bibliographie== | ==Bibliographie== | ||
* Les Royalistes, Enquête sur les amis du roi aujourd'hui , Albin Michel (1989) | * Les Royalistes, Enquête sur les amis du roi aujourd'hui , Albin Michel (1989) | ||
Version du 25 mars 2014 à 12:18
La France debout.
Périodique fondé en 1984 par Dominique Welker (né en 1957), il affirme au départ son soutien au Duc d’Anjou Alphonse II avant de plonger dans le providentialisme au profit du mouvement survivantiste
Cet ancien trotkyste du Parti communiste internationaliste (puis des Groupes nationalistes révolutionnaires, un passage à la Nouvelle action royaliste) soutient au départ Alphonse II pui finit par reconnaître en 1987 Charles Edmond Naundorff comme le seul prétendant au trône de France .
Le périodique se définit alors comme le Bulletin royaliste et catholique de Bretagne au service du Grand monarque et du Saint Pape. (il se situe alors dans la mouvance de Monseigneur Lefebvre)
En avril 1990, il rebaptise « La France debout » en « Le lys Blanc », remet en question les sacres de Louis XVIII et de Charles X et va illustrer la forme la plus extrême du providentialisme, n’hésitant pas à attaquer extrémistes païens ou providentialistes qui nieraient l’universalisme de la Foi catholique. Le périodique n’hésite pas à dénoncer complot sataniste en tout genre dont certains naundorffistes se font allègrement l’écho.
Bibliographie
- Les Royalistes, Enquête sur les amis du roi aujourd'hui , Albin Michel (1989)
