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'''Jules Caplain-Cortambert''' ('''Jules Caplain''') (1857 - 1930), militaire, journaliste et militant monarchiste français.  
'''Jules Caplain-Cortambert''' ('''Jules Caplain''') (1857 - 1930), militaire, journaliste et militant monarchiste français.  


Il fut l'un des fondateurs de la [[Revue d'Action française]] en 1899 avec [[Henri Vaugeois]] et [[Maurice Pujo]]. Nationaliste et antidreyfusard, il fut l'un des premiers militants de l'[[Action francaise|Action française]] et l'un des administrateurs de la revue. Caplain fut un admirateur de [[Maurice Barrès]] ; il a laissé quelques études biographiques, notamment, sur Alphonse de Lamartine.
Officier de la même promotion à Saint-Cyr que le marquis de Morès et Philippe Pétain, il démissionne de l'armée en 1893.


'''Jules Caplain-Cortambert''' s'éloignera finalement de l’[[Action francaise|Action française]], suspectée dès avant 1914 d'anticléricalisme, et écrira un article intitulé : « ''Pourquoi, libre-penseur, mais nationaliste, je ne dois pas être anticlérical'' ».
Il fut l'un des fondateurs de la [[Revue d'Action française]] en 1899 avec [[Henri Vaugeois]] son cousin et [[Maurice Pujo]]. Nationaliste et antidreyfusard, il fut l'un des premiers militants de l'[[Action francaise|Action française]] et l'un des administrateurs de la revue.
Cette collaboration ne dura guére et la rupture est consommée dès 1900 ([[Charles Maurras|Maurras]] dans une lettre l'appelle l'"horrible Caplain"...).
 
Caplain fut un admirateur de [[Maurice Barrès]] ; il a laissé quelques études biographiques, notamment, sur Alphonse de Lamartine. Il est également l'auteur d'un article intitulé : « ''Pourquoi, libre-penseur, mais nationaliste, je ne dois pas être anticlérical'' ».





Version du 5 octobre 2009 à 13:57

Jules Caplain-Cortambert (Jules Caplain) (1857 - 1930), militaire, journaliste et militant monarchiste français.

Officier de la même promotion à Saint-Cyr que le marquis de Morès et Philippe Pétain, il démissionne de l'armée en 1893.

Il fut l'un des fondateurs de la Revue d'Action française en 1899 avec Henri Vaugeois son cousin et Maurice Pujo. Nationaliste et antidreyfusard, il fut l'un des premiers militants de l'Action française et l'un des administrateurs de la revue. Cette collaboration ne dura guére et la rupture est consommée dès 1900 (Maurras dans une lettre l'appelle l'"horrible Caplain"...).

Caplain fut un admirateur de Maurice Barrès ; il a laissé quelques études biographiques, notamment, sur Alphonse de Lamartine. Il est également l'auteur d'un article intitulé : « Pourquoi, libre-penseur, mais nationaliste, je ne dois pas être anticlérical ».