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À Reims, les 5 et 6 décembre 1896, Congrès de la Réunion d’Études Sociales (institut de la Jeunesse Royaliste). La présidence est assurée par le [[Fernand de Parseval| colonel de Parseval]], on décide de fonder un hebdomadaire de propagande royaliste ''Le Réveil Français''. Le journal qui aura cinq directeurs : F. de Parseval, Ch. Le Cour Grandmaison, F. de Ramel, E. de Lur-Saluces et R. Lambelin, auxquels s'ajoute le comte de | À Reims, les 5 et 6 décembre 1896, Congrès de la Réunion d’Études Sociales (institut de la Jeunesse Royaliste). La présidence est assurée par le [[Fernand de Parseval| colonel de Parseval]], on décide de fonder un hebdomadaire de propagande royaliste ''Le Réveil Français''. Le journal qui aura cinq directeurs : F. de Parseval, Ch. Le Cour Grandmaison, F. de Ramel, E. de Lur-Saluces et R. Lambelin, auxquels s'ajoute le comte de Malherbe. Ce journal approfondit la doctrine sociale de la Jeunesse Royaliste Le Réveil Français voudrait relayer la Bonne Presse de province mais il se heurte immédiatement à La Croix, de même que les Groupes ouvriers rivalisent avec les Cercles catholiques d'ouvriers. | ||
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Version du 12 mars 2023 à 17:48
Le Réveil Français, hebdomadaire de propagande royaliste qui appartient Jeunesse Royaliste.
À Reims, les 5 et 6 décembre 1896, Congrès de la Réunion d’Études Sociales (institut de la Jeunesse Royaliste). La présidence est assurée par le colonel de Parseval, on décide de fonder un hebdomadaire de propagande royaliste Le Réveil Français. Le journal qui aura cinq directeurs : F. de Parseval, Ch. Le Cour Grandmaison, F. de Ramel, E. de Lur-Saluces et R. Lambelin, auxquels s'ajoute le comte de Malherbe. Ce journal approfondit la doctrine sociale de la Jeunesse Royaliste Le Réveil Français voudrait relayer la Bonne Presse de province mais il se heurte immédiatement à La Croix, de même que les Groupes ouvriers rivalisent avec les Cercles catholiques d'ouvriers.
Journal de très format (63,5x46,5 cm)
Sources
Lien externe
- [1] Archives.calvados
- [2] Site de la BNF
