« Jean Toublanc » : différence entre les versions

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Il a été secrétaire général des Étudiants de la [[Restauration nationale]] sous le pseudonyme de ''Jean Danjou''. Il collaborait à ''[[AF Université]]'' et à ''[[Le Combat national|Combat National]]''. Il milita pour l'[[Algérie française]] et fut, pour cela, interné administratif au camp de Saint-Maurice-l'Ardoise.  
Il a été secrétaire général des Étudiants de la [[Restauration nationale]] sous le pseudonyme de ''Jean Danjou''. Il collaborait à ''[[AF Université]]'' et à ''[[Le Combat national|Combat National]]''. Il milita pour l'[[Algérie française]] et fut, pour cela, interné administratif au camp de Saint-Maurice-l'Ardoise.  


En 1963-64 il fut "permanent" de l'Union Royaliste Provençale à Marseille et assurait des Cercles d'études.
En 1963-64 il fut "permanent" de l'[[Union Royaliste Provençale (URP)| Union Royaliste Provençale]] à Marseille et assurait des Cercles d'études.


De 1968 à 1971 il anima la fédération parisienne de la [[Restauration nationale]] avec son adjoint [[Yvan Aumont]].  
De 1968 à 1971 il anima la fédération parisienne de la [[Restauration nationale]] avec son adjoint [[Yvan Aumont]].  

Dernière version du 9 février 2022 à 17:31

Jean Toublanc était un journaliste et militant royaliste français né le 19 novembre 1932 et décédé en octobre 2003.

Il a été secrétaire général des Étudiants de la Restauration nationale sous le pseudonyme de Jean Danjou. Il collaborait à AF Université et à Combat National. Il milita pour l'Algérie française et fut, pour cela, interné administratif au camp de Saint-Maurice-l'Ardoise.

En 1963-64 il fut "permanent" de l' Union Royaliste Provençale à Marseille et assurait des Cercles d'études.

De 1968 à 1971 il anima la fédération parisienne de la Restauration nationale avec son adjoint Yvan Aumont.

Il quitte ce mouvement, en avril 1971, avec d'autres membres du Comité directeur — Georges-Paul Wagner, Yves Lemaignen et Bertrand Renouvin — pour aller créer la Nouvelle Action française (NAF).

Il quitte la NAF en janvier 1974 en raison du "gaullisme" de sa direction. Il se rapproche de la Restauration nationale à la fin des années 80 à l'occasion de l'embellie militante de la "Génération Maurras".

Jean Toublanc a été en 2001 l'un des initiateurs du Groupe de liaison royaliste (GLR). Il était membre de l'Association de la presse monarchique.

Son frère aîné, Raymond Toublanc, également royaliste participa à un réseau de Résistance et mourut en déportation au camp de Neuengamme. Une place de la ville d'Angers porte son nom.