« Roger Nimier » : différence entre les versions
De SYLMpedia
Aller à la navigationAller à la recherche
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
Roger Nimier, né le 31 octobre 1925 à Paris et mort dans un accident voiture, le 28 septembre 1962 à Garches à l’âge de trente-sept ans, est un écrivain français. | Roger Nimier, né le 31 octobre 1925 à Paris et mort dans un accident de voiture, le 28 septembre 1962 à Garches à l’âge de trente-sept ans, est un écrivain français. | ||
Également journaliste et scénariste, il est considéré comme le chef de file du mouvement littéraire dit des « Hussards ». | Également journaliste et scénariste, il est considéré comme le chef de file du mouvement littéraire dit des « Hussards ». | ||
Ligne 10 : | Ligne 10 : | ||
Il apporte son soutien aux jeunes du ''Mouvement d'action universitaire et culturelle'' qui créèrent ''Contre-Révolution'' (1951). | Il apporte son soutien aux jeunes du ''Mouvement d'action universitaire et culturelle'' qui créèrent ''Contre-Révolution'' (1951). | ||
Lorsque [[Pierre Boutang]] fonda ''La Nation française'' en 1955, il y collabore. | Lorsque [[Pierre Boutang]] fonda ''[[La Nation française]]'' en 1955, il y collabore. | ||
==Références== | ==Références== |
Version du 8 janvier 2022 à 17:50
Roger Nimier, né le 31 octobre 1925 à Paris et mort dans un accident de voiture, le 28 septembre 1962 à Garches à l’âge de trente-sept ans, est un écrivain français.
Également journaliste et scénariste, il est considéré comme le chef de file du mouvement littéraire dit des « Hussards ».
En 1945 il adhère Mouvement Socialiste Monarchiste.
Après expérience du MSM, il dirige, sous le pseudonyme François Sainte-Anne, Force populaire éphémère journal de “combat socialiste monarchique”. (numéro 1 - 25 septembre 1947 - gérant Pierre Bernardet).
Il apporte son soutien aux jeunes du Mouvement d'action universitaire et culturelle qui créèrent Contre-Révolution (1951).
Lorsque Pierre Boutang fonda La Nation française en 1955, il y collabore.
Références
- Philippe Vilgier, Le Lys rouge et les royalistes à la Libération, Camelot et Joyeuse Garde, Paris, 1994, 180 p. (ISBN|2878980050). cité page 103.
- Henry Coston, Dictionnaire de la politique française, tome III, La Librairie française, 1979. cité page 505.”