« Villehardouin ( Geoffroy de) » : différence entre les versions
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[[Fichier:220px-Fran%C3%A7ais 24210, fol. 1.jpeg|vignette|gauche|Première page du manuscrit de 1458 de La conquête de Constantinople, Bibliothèque nationale de France, MS Français 24210 f. 1]] | |||
Geoffroy, sire de Villehardouin ( né au château homonyme, prés de Troyes 1155. Mort à Messinople- Grèce-1213).Membre du conseil de régence du Comté de Champagne . Sénéchal (Officier au service d’un seigneur) de Champagne sous le comte Thibault V. Ce fut sans doute un des pivots de la 4 éme croisade en particulier lors du rôle qu’il joua pour obtenir de la république de Venise qu’elle transporte les chrétiens en terre sainte. | Geoffroy, sire de Villehardouin ( né au château homonyme, prés de Troyes 1155. Mort à Messinople- Grèce-1213).Membre du conseil de régence du Comté de Champagne . Sénéchal (Officier au service d’un seigneur) de Champagne sous le comte Thibault V. Ce fut sans doute un des pivots de la 4 éme croisade en particulier lors du rôle qu’il joua pour obtenir de la république de Venise qu’elle transporte les chrétiens en terre sainte. | ||
Version du 9 octobre 2014 à 09:36
Un des quatre grands chroniqueurs du Moyen-Age avec Villehardouin, Froissart et Commines.
Un grand seigneur diplomate
Geoffroy, sire de Villehardouin ( né au château homonyme, prés de Troyes 1155. Mort à Messinople- Grèce-1213).Membre du conseil de régence du Comté de Champagne . Sénéchal (Officier au service d’un seigneur) de Champagne sous le comte Thibault V. Ce fut sans doute un des pivots de la 4 éme croisade en particulier lors du rôle qu’il joua pour obtenir de la république de Venise qu’elle transporte les chrétiens en terre sainte.
Un guerrier mémorialiste
Ayant bravement combattu lors du très controversé siège de Constantinople (1204), controversé parce que dirigé contre une ville chrétienne Empire latin de Constantinople. Empire latin de Constantinople.) , il en fit le récit dans une chronique qui reste la première de ce genre dans la prose française. Sa bravoure dans la suite des combats lui fit octroyer en 1207 par Boniface de Montferrat, roi de Thessalonique le fief de Messinople où il rédigea uue partie de ses oeuvres.