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Journal de très format (63,5x46,5 cm) - Son siège était à Paris, 1bis rue Baillif dans les bureaux de ''La Gazette de France''. | Journal de très grand format (63,5x46,5 cm) - Son siège était à Paris, 1bis rue Baillif dans les bureaux de ''La Gazette de France''. | ||
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À Reims, les 5 et 6 décembre 1896, Congrès de la Réunion d’Études Sociales (institut de la Jeunesse Royaliste). La présidence est assurée par le [[Fernand de Parseval| colonel de Parseval]], on décide de fonder un hebdomadaire de propagande royaliste ''Le Réveil Français''. | À Reims, les 5 et 6 décembre 1896, Congrès de la Réunion d’Études Sociales (institut de la Jeunesse Royaliste). La présidence est assurée par le [[Fernand de Parseval| colonel de Parseval]], on décide de fonder un hebdomadaire de propagande royaliste ''Le Réveil Français''. | ||
Le journal aura comme directeur : [[Fernand de Parseval]] assisté par un comité de parrainage, [[Charles Le Cour Grandmaison]], [[Fernand de Ramel]], [[Eugène de Lur-Saluces]] et [[Roger Lambelin]], auxquels s'ajoute le comte de Malherbe. Ce journal approfondit la doctrine sociale de la [[Jeunesse Royaliste]]. ''Le Réveil Français'' voudrait relayer la Bonne Presse de province mais il se heurte immédiatement à ''La Croix'', de même que ses Groupes ouvriers rivalisent avec les Cercles catholiques d'ouvriers. | Le journal aura comme directeur : [[Fernand de Parseval]] assisté par un comité de parrainage, [[Charles Le Cour-Grandmaison]], [[Fernand de Ramel]], [[Eugène de Lur-Saluces]] et [[Roger Lambelin]], auxquels s'ajoute le comte de Malherbe. Ce journal approfondit la doctrine sociale de la [[Jeunesse Royaliste]]. ''Le Réveil Français'' voudrait relayer la Bonne Presse de province mais il se heurte immédiatement à ''La Croix'', de même que ses Groupes ouvriers rivalisent avec les Cercles catholiques d'ouvriers. | ||
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== Sources == | == Sources == | ||
Dernière version du 25 mars 2023 à 18:24
Le Réveil Français, hebdomadaire de propagande royaliste qui appartient à Jeunesse Royaliste. Fondé en 1897 il continuera à paraitre après 1907.
Journal de très grand format (63,5x46,5 cm) - Son siège était à Paris, 1bis rue Baillif dans les bureaux de La Gazette de France.
Histoire
À Reims, les 5 et 6 décembre 1896, Congrès de la Réunion d’Études Sociales (institut de la Jeunesse Royaliste). La présidence est assurée par le colonel de Parseval, on décide de fonder un hebdomadaire de propagande royaliste Le Réveil Français.
Le journal aura comme directeur : Fernand de Parseval assisté par un comité de parrainage, Charles Le Cour-Grandmaison, Fernand de Ramel, Eugène de Lur-Saluces et Roger Lambelin, auxquels s'ajoute le comte de Malherbe. Ce journal approfondit la doctrine sociale de la Jeunesse Royaliste. Le Réveil Français voudrait relayer la Bonne Presse de province mais il se heurte immédiatement à La Croix, de même que ses Groupes ouvriers rivalisent avec les Cercles catholiques d'ouvriers.
Document joint
Ce bulletin d'abonnement de Mayol de Lupé montre que la plus grande partie du milieu légitimiste, après la mort du comte de Chambord, s'était ralliée aux orléanistes. Le comte Henri Mayol de Lupé (1841-1916) ardent défenseur de la cause catholique et royale, consacra sa vie à la défense d'Henri V. Il fut longtemps collaborateur du journal légitimiste L'Union, sur la recommandation du Prince dont il était l'ami.
Sources
- François Callais, La jeunesse Royaliste. Préfiguration de l'Action française, Site Persée, 1991, 27 p. (lire en ligne)
Lien externe
- [1] Archives Calvados
- [2] Site de la BNF
